Puidoux – Merci Gaby de ton accueil
Aimer, aider a été ta vie
Constant Jayet. |. Mon ami Gaby, tu nous a accueilli le 1er juillet avec les contemporains 1941 et nos compagnes, avec ton sourire. Le 2, nous étions près de toi l’après-midi et au soir tu es parti. Une immense peine est en nous. Tu as connu les joies et les peines de la vie et toi qui aimait lire j’ai trouvé dans le livre «Vol de nuit» de Saint-Exupéry ce passage « Il s’aperçut qu’il avait peu a peu repoussé vers la vieillesse pour – quand il aurait le temps – ce qui fait douce la vie des hommes comme si réellement on pouvait avoir le temps un jour, comme si l’on gagnait à l’extrémité de la vie, cette paix bienheureuse que l’on imagine » Mais il n’y a pas de paix. Il n’y a peut-être pas de victoire. Il n’y a pas d’arrivée définitive de tous les courriers. C’est une peine de chaque jour en pensant a ton départ. Merci Gaby de ton accueil. Aimer, aider a été ta vie.