Cher Gianni Infantino, Cher Président de la FIFA
Pierre Scheidegger, Panathlon-Club Lausanne | Cent quinze fédérations ont voté pour vous. Preuve en est du travail et de votre engagement lors de votre campagne.
On ne peut que s’en réjouir, non seulement pour le football mais pour tout sport confondu, et je reste convaincu que c’est la jeunesse sportive qui demeurera votre principal soutien pour lutter contre ces terribles fléaux que représentent le «dopage économique», la tricherie, ainsi que toute tare dénaturant le sport.
Cher Président, vous avez dit que vous ne recherchiez pas le pouvoir, c’est louable et nécessaire tout en étant attentif que ce dernier ne vous rattrape pas en chemin, ce qui vous entraverait à mener à bien votre «sacerdoce».
J’y crois fermement.
Je me suis longuement arrêté sur les images lors des informations TV à l’annonce du résultat des votations vous portant à la présidence de la FIFA. Ce qui m’a frappé, même étonné, c’est votre calme, je dirais même une certaine sérénité. J’avais l’impression que vous preniez conscience de l’honneur mais surtout de la charge que vos pairs vous offraient.
C’était beau ! Peut-être le début des réformes que vous souhaitez réaliser? J’ai un vœu, Monsieur le Président. Un vœu allant au bénéfice de la jeunesse, des juniors : ne les oubliez pas, ils représentent la pérennité du sport que vous aimez, le football.
Bonne route, cher Président de la FIFA.